Au Cameroun, la N5 est le tronçon routier qui part de Békoko. Son point d’arrivée est Bandjoun, un village limitrophe de Bafoussam, la troisième ville du pays. Elle fait partie du tristement célèbre "Triangle de la mort".

Quinze compagnies aériennes ont rédigé un courrier dénonçant l’extrême vétusté de l’aéroport international de Douala. J’ai sorti de mes archives ce vieil article retraçant mon expérience avec cet aéroport.

Je me donne un droit de réponse à Didier Ndengue, ardent supporter de Donald Trump et dont les positions, à l’image de celles de son champion, surprennent et interrogent.

Douala est d’une grande violence. Non pas celle qui fait que les gens t’insultent, t’agressent. Mais cette violence muette, sournoise, qui te pousse à une vigilance de tous les instants.

Comment en sommes-nous arrivés à créer des cyber-migrants, obligés de quitter leur région pour pouvoir accéder à Internet ?

Les revendications en cours dans la zone anglophone ne sont qu'un reflet supplémentaire d’une frustration ressentie par les Camerounais.

Avant d'aller traquer et débusquer "les félons du cyberespace", les responsables publics devraient savoir deux ou trois choses sur les réseaux sociaux

Petit précis adressé à ceux qui depuis quelques jours vilipendent les blogueurs au Cameroun

Parce que ce sont des Hommes qui ont fui des pays en guerre, parce que nous avons un devoir d'humanité, parce qu'on doit cesser de détourner le regard.